La grande expression que l’on nous a répétée si souvent depuis qu’on est arrivés est « culture shock ». Lorsque l’on découvre une petite chose qui fonctionne différemment ici, certains plaisantent automatiquement en reprenant cette expression. Et bien, voilà un choc : les feuilles à carreaux n’existent pas. On ne trouve que…
Faut pas s’y méprendre, on ne fait pas que s’occuper de l’électricité ici, on visite aussi. Excursion en train offerte par le bureau International, ou encore croisière dans la péninsule avec une vingtaine d’étudiants… on s’occupe. Mais immortaliser les paysages peut s’avérer délicat lorsque la condensation se forme sur les…
L’électricité est tellement chère qu’on essaie d’économiser. Alors on se sert principalement de la pompe à chaleur pour chauffer le flat, et très peu des radiateurs électriques. Mais ce qu’il faut savoir, c’est que même s’il fait tiède dans la pièce quand tu te couches, il fait forcément glacial lorsque…
Alors, le flat est ce qu’on appelle en langue courante un « appartement en colocation ». Mais le flat est encore plus fort que ça car il intègre un fonctionnement en communauté parfois impressionnant. Dans le complexe de flats où je me trouve, on vit à 4 par flat (même si la…
A Otago, c’est magique. Quoi qu’on ait à faire, il y a toujours un petit guide papier qui va avec. Que ce soit pour les premiers jours en ville, pour les ordinateurs, ou pour savoir où se plaindre, il y a un guide pour tout. A quand le guide du…
Inattendu, il semblerait que les trois-quarts des étudiants internationaux ce semestre viennent des États-Unis. Ils ne se présentent plus par leur pays, mais directement par leur État. Résultat, tout le monde est surpris quand on trouve un européen ou un asiatique. Ils auront quand même fait un sacré voyage pour…
Tout le monde connaît les téléphones à carte que l’on recharge en achetant du crédit supplémentaire. Et bien, découvrez désormais l’électricité rechargeable. Si si, je vous assure que ça existe ! Vous achetez de l’électricité à la poste locale, puis vous rentrez le code dans votre boitier d’électricité, et enfin…
Un départ est toujours galère. Celui-ci n’y a pas échappé. Je suis partie avec 30kg de bagages pour la soute, plus le bagage à main. Se déplacer dans la rue, dans les transports, avec tout cet équipement était presque comique. J’ai avancé doucement et je suis arrivée à destination, tout du moins la première destination : l’aéroport.