Au menu cette semaine, le grand film de l’année, le tant attendu Interstellar.
Interstellar
La célébrité du moment, le film événement, Interstellar était le film dont tout le monde parlait, et surtout les médias. Après avoir laissé passer les 3 premières semaines de rush et de foule à l’UGC, je me suis enfin décidée à aller le voir. Terriblement en manque de films de science-fiction, Interstellar tombe pile dans mon horizon cinématographique. De beaux effets spéciaux, des théories spatiaux-temporelles, un scénario à tourner et retourner dans tous les sens pour essayer de comprendre sa logique… un bon cocktail au rendu soigné.
Après tant de bruits de couloir, le début me laissait perplexe, me demandant où était le spectaculaire évoqué. Mais tout vient en temps et en heure, même en remontant son courant, et je vois peu à corriger. Bien entendu, on peut tous trouver un peu osé la manière dont le trou noir a été exploité, pour son côté un peu conte de fée. Mais pourquoi pas, je reste ouverte aux nouvelles idées en matière de théories temporelles. Il a bien fallu un premier Doc Brown.
La trame narrative reste soignée. Au point que l’impact du décalage temporel sur la vie des personnages est parvenu à m’arracher quelques larmes. Comme si on était avec eux dans le sillage du trou noir.
Côté compréhension, je remercie Eureka, qui m’a donné quelques notions préalables concernant le fonctionnement d’un worm-hole. Et malgré toutes ces leçons, mon cerveau résiste, je comprends l’explication (je pourrais presque la refaire) mais je parviens difficilement à la visualiser dans mon esprit.